De nombreux étudiants font le choix de poursuivre leur cursus à l’étranger. Parmi les différentes destinations qui leurs sont offert, la Nouvelle-Zélande est particulièrement prisée. Aujourd’hui, nous vous présentons le témoignage de Corentin, qui a eu la chance d’étudier à l’Université d’Auckland.
Quand es-tu arrivé en Nouvelle-Zélande ?
Je suis arrivé en Nouvelle-Zélande à la fin de ma 2ème année d’ingénieur (fin du bac+4), mi-juillet 2019. C’était une semaine avant le début des cours, ce qui s’est avéré très pratique pour me trouver un logement et découvrir Auckland.
Sur quels critères as-tu choisi University of Auckland (UoA)?
J’ai choisi l’Université d’Auckland un peu par hasard. Je savais que je voulais partir hors de l’Europe. Suite à quelques péripéties, je me suis retrouvé à hésiter entre la Nouvelle-Zélande et l’Australie, puis on m’a proposé l’Université d’Auckland.
Quel programme suis-tu en ce moment ?
À ce jour, j’ai fini mes études mais j’ai suivi à l’Université d’Auckland le Master of Information Technologies. Il a duré un peu plus d’un an, avec deux semestres de cours et un stage de dix semaines. J’ai pu choisir librement mes cours parmi une longue liste. Nous devions seulement nous assurer que les cours choisis étaient en cohérence avec notre parcours. Je n’ai eu aucun soucis de ce côté et j’ai pu suivre les cours qui m’intéressaient le plus. Mon stage m’a été trouvé par l’université directement, auprès de chercheurs de l’université. Il était plus encadré que les stages que j’ai eu en France et il était rémunéré. Toutefois, cette rémunération restait faible face au coût du semestre.
Où étais-tu logé? Comment as-tu trouvé ce logement?
J’ai choisis l’Université d’Auckland assez tardivement et il ne restait plus de place dans les résidences étudiantes du campus. Heureusement un autre étudiant de ma promo s’est retrouvé dans la même situation. On a fait une première visite de logements avec une petite organisation de l’UoA. Finalement nous avons pu trouver un appart à partager, très bien équipé, en centre-ville et à un prix raisonnable (420$NZ/sem pour deux). Un an plus tard, mon coloc est reparti en France et j’ai pu m’installer à la résidence étudiante de Carlaw, proche de l’université. Même si le prix de la résidence était plus élevé que celui de mon précédent appartement, j’ai pu être à promixité de beaucoup d’autres étudiants, ce que j’ai beaucoup apprécié.
Que penses-tu de l’établissement et des cours que tu as suivis ?
L’Université d’Auckland est monstrueusement grande (environ 40.000 étudiants), mais on s’y retrouve ! L’organisation générale était bien et je n’ai eu aucun soucis matériel ou humain.
Les cours étaient qualitatifs et enrichissants. Les cours les plus techniques étaient donnés par des chercheurs passionnés qui savaient comment faire vivre un cours et capter l’attention des étudiants.
Quelles sont les différences avec les études en France?
En France j’ai fait une prépa et une école d’ingénieurs, l’ENSIIE. L’enseignement à l’Université d’Auckland ne ressemblait pas à ce que j’avais connu. J’avais environ 3h de cours par matière, avec 4 cours différents ce qui équivaut à 12h de cours par semaine. Mon emploi du temps était beaucoup plus léger qu’en France. Les cours dits « techniques » sont tous magistraux, il n’y a aucun TP. Par contre, on attend de nous plus de recherche et de travail chez soi. Néanmoins, les cours de communication ou de management étaient assez similaires aux cours dispensés en France.
Qu’apprécies-tu le plus en Nouvelle-Zélande ?
Les paysages, la météo, la flore, les oiseaux. C’est très rapide à énoncer, mais on en finit jamais de les découvrir !
Qu’apprécies-tu le moins ?
La nourriture. Pourquoi? Parce que je ne l’ai pas trouvée. S’il y a des bonnes nourritures locales à Kiwi-Land, elles sont bien cachées, croyez-moi !
Quels ont été les principaux obstacles rencontrés durant ton séjour ?
On ne va pas le nier, j’ai passé 2020 en Nouvelle-Zélande, donc j’ai fait face à la crise sanitaire. Malgré cela, je suis content d’avoir pu vivre cette crise en Nouvelle-Zélande car elle a été stoppée assez rapidement. En dehors de cela, je dirais que j’ai eu quelques difficultés à m’intégrer et trouver des clubs associatifs qui me plaisent en Août, mais ce fut beaucoup plus facile en Mars (début de l’année scolaire locale).
As-tu trouvé un petit job sur place? Est-ce difficile?
J’ai très rapidement cherché mais je n’ai malheureusement rien trouvé.
Qu’est-ce que tu dirais à un étudiant qui hésite à partir ?
Je lui conseillerai de viser les résidences étudiantes sans tarder pour tisser facilement des liens lors de son arrivée. Il faudrait également qu’il se renseigne sur les possibilités de voyage dans le pays. Même le temps d’un week-end, il pourrait découvrir d’incroyables endroits.
Ton ou tes coups de coeur (voyages, bar, restaurants, visite…)?
L’Île Stewart et cape Reinga. J’ai eu pas mal d’autres coups de coeur sur la route entre les deux, comme la waipu caves (les seules gratuites avec des vers luisants il me semble). Wellington et le mont Cook. Mais vraiment, le voyage vaut tout autant la peine que la destination…D’ailleurs ce sont des destinations dans lesquelles on peut aussi voyager.
Qu’as-tu pensé des services d’accompagnement de StudiesUP?
Très réactifs, chaleureux et efficace. J’ai toujours eu la sensation rassurante d’avoir StudiesUP à mes côtés et ils se sont montrés incroyables tout au long de mon périple.
Merci à Corentin pour son témoignage sur ses études à l’Université d’Auckland en Nouvelle-Zélande !
Lorsque l’on s’apprête à partir à l’étranger, il est important de bien se préparer en amont. Beaucoup d’étudiants négligents cette préparation et font de grosses erreurs une fois partis. Jette un coup d’oeil à notre article pour savoir quelles sont les plus grosses erreurs à éviter quand tu pars étudier à l’étranger.
Si tu souhaites en savoir plus sur les destinations proposées par StudiesUp pour étudier à l’étranger, n’hésite pas à nous contacter.
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