Avec l’accompagnement de StudiesUP, Marjorie est partie étudier l’anglais dans le New Zealand Language Centres (NZLC), une école de langues réputée pour la qualité de ses cours.
Elle nous raconte son expérience !
Le choix de la destination et des cours
Quand es-tu arrivée en Nouvelle-Zélande ?
Je suis arrivée fin septembre 2022 et je suis repartie en juin 2023.
Sur quels critères (coût, destination, réputation…) as-tu choisi ton centre de langues ?
J’ai choisi le centre de langues d’Auckland car étant la plus grande ville, cela me paraissait être le plus facile pour commencer.
Après-coup, je trouve que la ville de Wellington est tout aussi grande et a bien plus de charme.
Quant à Queenstown, c’est plus petit, mais l’ambiance y est encore meilleure !
Je conseillerai plutôt ces deux dernières villes.
Quel programme as-tu suivi et pendant combien de temps ?
J’ai suivi 4 semaines de cours d’anglais général, 4h par jour, 5 jours par semaine, niveau B1.
C’était largement suffisant pour me lancer.
Quand on doit aussi parler anglais au quotidien, on progresse mille fois plus vite que lorsqu’on apprend l’anglais en France !
Logement sur place et démarrage des cours d’anglais
Où étais-tu logée à Auckland ? Comment as-tu trouvé ce logement ?
J’étais logée en auberge de jeunesse et j’ai trouvé ça gé-nial !
J’y ai rencontré plein de copains et j’ai pu pratiquer l’anglais avec des gens qui ne sont pas natifs, ce qui permet de ne pas avoir la pression de devoir s’exprimer parfaitement !
Et puis cela m’a permis de ne pas du tout me sentir seule au début, car on rencontre plein de gens qui voyagent en solitaire.
Par contre, il faut aimer la vie en communauté. 😉
Je conseillerais de réserver auprès d’auberges où chaque lit possède un rideau ce qui donne un peu plus d’intimité dans les chambres collectives.
Que penses-tu de ton établissement des cours suivis ?
C’était top, on était super bien encadrés ce qui est rassurant quand on arrive dans un nouveau pays ! Une prof m’avait aidé à faire les démarches administratives pour l’obtention du numéro IRD (Inland Revenue Department number, un numéro obligatoire pour pouvoir travailler en Nouvelle-Zélande), ils peuvent aussi aider pour les cartes de bus ou de téléphone.
Qu’est-ce que les cours d’anglais t’ont apporté en ce début de voyage ? Le conseilles-tu aux jeunes qui veulent partir en PVT ?
Je le conseille quand on a besoin d’un petit boost de confiance en soi avant de parler anglais !
Tout ce que l’on apprend en cours, on le réutilise dans notre vie quotidienne alors on l’assimile bien plus vite. Ça permet de donner un socle de vocabulaire et un cadre pour pratiquer l’anglais si on a peur de parler avec des kiwis au début. Après, ça vient tout seul !
Kiwis : mot souvent utilisé pour désigner les néo-zélandais, en hommage à l’oiseau du même nom.
La vie sur place en tant qu’étudiante internationale
Qu’as-tu le plus apprécié en Nouvelle-Zélande ?
La nature est magnifique. Les oiseaux, les montagnes, la mer et l’océan. Surtout dans l’île du sud, je ne m’attendais pas à quelque chose d’aussi grandiose !
J’apprécie aussi la sécurité du pays. Je n’ai jamais eu aucun problème. Et j’ai aussi toujours su trouver de l’aide de la part des kiwis quand j’en avais besoin.
Qu’as-tu le moins apprécié en Nouvelle-Zélande ?
La ville. J’ai trouvé l’architecture très grise et sans charme.
C’est aussi pour cela que je déconseille de rester trop longtemps à Auckland !
Quels ont été les principaux obstacles rencontrés, s’il y en a eu ?
Voyager seule n’est pas toujours reposant, il faut tout gérer et parfois c’est fatigant, mais ça vaut le coup ! Et puis il arrive de se sentir seul(e) et que la famille ou les amis nous manquent. Malgré tout : à la fin, on est fier d’avoir réussi surmonter tout ça !
Tu as fait un long périple pour découvrir le pays et profiter de ton année en PVT. Quelles seraient les étapes les plus marquantes de ce voyage ?
J’ai fait noël sur la plage avec tous mes copains au début de l’été et ça reste un super souvenir.
Un des plus beaux endroits que j’ai vu est le parc national d’Abel Tasman, où j’ai fait un trek de 5 jours. J’ai vu des oiseaux magnifiques. On est coupé du monde et les paysages sont à couper le souffle.
C’est un trek facile qui longe la plage, je le recommande à 200% si on aime la nature.
J’ai aussi adoré la région d’Otago et ses grandes montagnes, et le Mont Cook !
J’ai fait beaucoup de camping, c’était trop chouette de se réveiller et d’aller dormir sur de magnifiques levers et couchers du soleil.
As-tu trouvé un job étudiant sur place en Nouvelle-Zélande ? Est-ce difficile ?
Oui, j’en ai eu cinq en tout et c’était SU-PER facile à trouver.
Ils ont besoin de monde presque partout, je conseille juste d’aller sur place directement et de bien préciser qu’on est disponible tout de suite.
Au tout début, j’ai travaillé dans un hôtel pour le petit-déjeuner (ce qui m’a bien aidé à pratiquer l’anglais même si c’était très dur au début de comprendre) et je servais notamment le petit-déjeuner aux équipes de la coupe du monde de rugby féminin !
Ensuite, j’ai bossé dans les fermes de kiwis. Le travail était ennuyeux mais j’étais avec des super copains donc ça reste de bons souvenirs.
J’ai également fait une semaine de woofing (hébergement en échange de travail) dans un camping à l’entrée du parc national d’Abel Tasman où je logeais gratuitement en échange de 3h de ménage 4x dans la semaine.
Autre expérience, j’ai travaillé 6 semaines dans le vin comme assistante de cave (sans expérience requise). C’était vraiment mon meilleur job. On était formés, super bien payés, ils nous ont fourni le logement et tout l’équipement. On devait être une soixantaine de saisonniers à travailler tous ensemble et j’y ai appris plein de choses.
Enfin, j’ai travaillé une petite semaine dans un café comme serveuse/barista juste pour renflouer les caisses !
Le mot de la fin pour les jeunes qui souhaitent se lancer
Qu’est-ce que tu dirais à un jeune qui hésite à partir ?
Il faut y aller, se faire confiance, et même si ce n’est pas toujours facile à imaginer, une fois sur place, on y est, il n’y a pas d’autre choix que de se débrouiller ! Et plus on se débrouille, plus on se fait confiance, et plus on sait s’écouter, plus on connaît nos limites.
À la fin, le ratio des belles choses et des peurs surmontées – dont on est fier – est mille fois supérieur aux moments difficiles !
Que retiendras-tu de ce grand voyage ?
Impossible à dire, il y a tellement à raconter !
Les avantages de partir accompagné par StudiesUP
Qu’as-tu pensé des services d’accompagnement de StudiesUP ?
C’était super, ça m’a beaucoup rassurée avant le départ !
L’équipe StudiesUP a été très réactive, et a toujours répondu à mes questions. J’ai été bien aidée dans les démarches.
StudiesUP est un bon tremplin pour découvrir « l’inconnu du voyage ». Une fois sur place, ça nous donne des ailes pour se lancer !